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Le blog de cepheides

Le blog de cepheides

articles de vulgarisation en astronomie et sur la théorie de l'Évolution

Publié le par cepheides
Publié dans : #paléontologie, #Évolution

 

 

sauroposeidon.jpg

 

 

 

Les dinosaures – les terribles reptiles – dominèrent notre monde durant plus de 140 millions d’années ce qui est considérable… et un chiffre difficile à saisir pour notre cerveau habitué à des durées bien plus modestes. A titre de comparaison, la présence de l’homme moderne représente une durée de moins de 0,0005 % de celle de ces animaux sur la Terre et celle de l‘homme dit « civilisé » encore 10 fois moins.

 

Apparues vers le milieu du Trias (première partie de l’ère secondaire ou mésozoïque), rapidement, ces étranges créatures – qui effraient et fascinent tout à la fois - se diversifièrent et se reproduisirent pour, à la fin du crétacé (et de l’ère secondaire), représenter jusqu’à 95% de la biomasse des vertébrés et dominer pratiquement toutes les niches écologiques : une réussite adaptative remarquable ! Comment ils ont pu dominer ainsi cette planète et pourquoi ils ont assez brusquement disparu sont des questions forcément passionnantes.

 

 

Le monde du début

 

Le Trias moyen, première période de l’ère secondaire, voit donc apparaître ces nouveaux occupants d’une terre jusque-là dominée par les reptiles mammaliens (ancêtres éloignés des mammifères) et autres crocodiles archaïques.

 

Nous sommes à – 225 millions d’années et la Terre de ce temps-là pangee-au-trias.pngest bien différente. Un seul continent l’occupe, la Pangée, entourée d’un océan unique, la Panthalassée. On peut donc imaginer un centre continental où il ne pleut guère - et donc semi-désertique - associé à un pourtour bien plus humide et tempéré où s’épanouit une abondante végétation composée de grands conifères et de fougères mais pas encore de plantes à fleurs. Les simulations sur ordinateur du climat de l’époque suggèrent l’alternance de violents épisodes pluvieux, un peu comme les moussons d’aujourd’hui. C’est dans ce milieu somme toute plutôt favorable qu’apparurent les premiers dinosaures.

 

 

Une évolution rapide

 

Comme toujours lorsqu’on parle d’évolution, il faut chercher à identifier le caractère particulier qui permet à une espèce (et ses descendantes) de supplanter, par sélection naturelle, les occupants en place. Une des hypothèses souvent retenue par les spécialistes est Dinosaures.jpgl’apparition chez les dinosaures de pattes placées sous le corps. En effet, jusque-là, les reptiles ne possédaient que des membres latéraux leur permettant certes de marcher et de courir mais au prix d’un abdomen et d’une queue traînant sur le sol ce qui est un handicap pour la mobilité. De plus, une partie des efforts des individus se perd alors dans les ondulations latérales de la reptation. Avec la présence de membres verticaux, les grands sauriens acquièrent une marche plus facile, plus aisée, associant des pas plus longs à une bonne stabilité du corps, responsable, quant à  elle, d’une augmentation possible du poids corporel. Un atout peut-être décisif dans ce monde de compétitions et d’antagonismes en tous genres.

 

Une autre hypothèse avancée par les scientifiques est la disparition des reptiles mammaliens survenue vers la fin du Trias supérieur lors d’une extinction de masse, disparition qui aurait permis la colonisation des niches laissées vacantes par les nouveaux arrivants.

 

Quoi qu’il en soit l’expansion et la diversification des grands sauriens furent rapides et généralisées.

 

 

Diversification des dinosaures

 

Peu après leur apparition il y a 225 millions d’années, les dinosaures se séparent en deux branches : les saurischiens et les ornithischiens. La différence entre ces deux groupes est anatomique : les premiers ont un bassin de lézard (pubis orienté vers l’avant) tandis que les ornithischiens ont un bassin comme celui des oiseaux (pubis vers l’arrière). C’est d’ailleurs cette caractéristique très particulière qui fait dire aux spécialistes que les oiseaux sont bel et bien des descendants directs de cette lignée de grands sauriens… Viennent ensuite des diversifications qui conduisent aux théropodes carnivores et aux sauropodes (et tyranosaure2.jpgornithischiens) herbivores. Le fait que les prédateurs carnivores (théropodes) aient conservé la bipédie du début tandis que les herbivores retournèrent pour la plupart à la quadrupédie explique en partie le succès évolutif de ces animaux mais pas seulement.

 

J’ai déjà eu l’occasion d’évoquer (voir sujet : les humains du paléolithique) que la course à la survie est presque toujours une course vers le gigantisme (dans les limites des contraintes mécaniques bien sûr). En effet, il est toujours plus simple pour un prédateur de se saisir d’une proie plus petite : la lutte est plus facile même s’il faut la renouveler plus souvent. De ce fait, la sélection naturelle, au fil des millions d’années, privilégie les individus plus massifs (de même que plus combatifs) moins souvent attaqués ce qui, à terme, avantage également les prédateurs plus grands en une sorte de course sans fin. En revanche, dès que la prédation devient moins féroce (par exemple dans un milieu isolé, avec peu de prédateurs, comme une île), au fil du temps, les espèces ont tendance à diminuer de volume vers une taille moyenne voisine de celle d’un grand chien. Les dinosaures qui vivaient dans un milieu très compétitif ont vu leur taille augmenter avec les années ce qui est également un bon facteur d’adaptation.

 

Une autre explication de la diversification de ces « lézards géants » réside (comme j’ai déjà eu l’occasion de la mentionner dans le sujet sur la tectonique des plaques) dans la dérive des continents, un phénomène impossible à saisir durant une vie humaine (quelques cm par an seulement) et même pendant la durée d’une civilisation. Nous évoquons en effet ici des durées bien supérieures qui se comptent en millions d’années. On comprend donc que cette dérive qui va progressivement fractionner le supercontinent Pangée en plusieurs morceaux va séparer des espèces entières de dinosaures qui, dès lors, vont évoluer séparément et donc forcément différemment… pour les remettre en présence lors d’une autre dérive de plaque tectonique et provoquer alors de nouvelles compétitions et adaptations.

 

 

Le règne des dinosaures

 

Les scientifiques ont décrit jusqu’à présent plusieurs centaines d’espèces différentes de dinosaures (700 à 800) et il est très vraisemblable que beaucoup d’autres espèces restent à mettre au jour. Jurassic Park, l’excellent film de Steven Spielberg, l’a bien montré : à peu près toutes les formes et toutes les tailles de ces animaux ont existé. Le plus grand d’entre eux fut probablement le sauropode Argentinosaurus qui, avec ses 8O tonnes, était haut comme un bâtiment de six étages et long comme trois autobus mais il existait aussi de minuscules créatures (toutes proportions gardées) qui, comme le microraptor, mesurait à peine soixante centimètres et devait peut-être chasser en meute.

 

Toutes les tailles mais également toute la Terre ! Stricto sensu, on n’a sémantiquement le droit de parler de dinosaures que pour les animaux terrestres. Néanmoins, certains autres animaux leur étaient apparentés et surent conquérir des environnements nouveaux : je pense, par exemple, aux reptiles marins comme les ichthyosaures (apparus avant les dinosaures et disparus également avant eux) dont l’agilité en mer pterodactyle.jpgéquivalait à celles des dauphins actuels ou les ptérosaures, les fameux « reptiles volants », disparus également lors de la grande extinction du Crétacé, et dont toutes les tailles existaient (certains spécimens avaient une envergure de douze mètres).

 

Cette remarquable adaptation des grands sauriens se fit aussi – on l’a déjà évoqué -  dans le long terme ; ils régnèrent si longtemps que leurs représentants successifs assistèrent à la modification totale des continents. De la Pangée du Trias, il ne reste rien au Crétacé. Outre l’écologie des terres, avec la formation de blocs séparés qui deviendront bien plus tard les continents que nous connaissons, le climat lui-même s’est considérablement modifié. Vers la fin du Jurassique, après une période chaude et humide, le climat s’était refroidi mais le voilà à nouveau réchauffé et considérablement adouci vers le Crétacé moyen au point que vers – 70 millions d’années, il ne reste plus rien des calottes glaciaires. Inévitablement, la flore elle-aussi se transforme avec l’apparition des plantes à fleurs qui, peu à peu, repoussent les conifères et les fougères géantes du Jurassique. Les dinosaures ? Eh bien, ils s’adaptent parfaitement à tous ces changements ; pour les herbivores, on passe de la domination des sauropodes à celle des ornithopodes (qui, comme l’indique leur nom, ont des pieds ressemblant à ceux des oiseaux). Ces derniers sont tous herbivores et c’est dans ce groupe qu’on trouve les iguanodons et leshadrosaure-Brachylophosaurus-canadensis fameux hadrosaures à bec de canard. Bien entendu, ces changements entraînent forcément de nouveaux prédateurs carnivores. Toujours de nouvelles espèces de dinosaure pour des milieux différents…

 

Pourtant, en quelques milliers d’années, cette extraordinaire domination remontant à des temps presque immémoriaux va subitement cesser.

 

 

Disparition des grands sauriens

 

Le sujet fascinant à la fois les scientifiques et le grand public, on a beaucoup écrit en ce domaine et force est de constater que, s’il est possible d’émettre des hypothèses vraisemblables, il est néanmoins difficile de conclure définitivement. En fait, à y regarder de plus près, il semble que cette disparition relativement soudaine (en termes d’évolution) soit plutôt la conséquence de phénomènes intriqués.

 

On connaît bien sûr la météorite du Yucatan, longuement évoquée dans ce blog (voir le sujet : la disparition des dinosaures) et il est assez vraisemblable que son rôle a été primordial dans cette extinction de la fin du Crétacé. Il faut d’ailleurs bien préciser que les dinosaures n’ont certainement pas été les seuls à être décimés à cette époque : il s’agit en effet de la dernière extinction de masse connue qui emporta également de nombreuses autres espèces tant terrestres que, surtout, marines (les ammonites par exemple).

 

Toutefois, il reste un doute : certains auteurs expliquent que la disparition des grands sauriens semblait bien amorcée avant le passage de la météorite ; ils expliquent que des lignées entières de dinosauriens paraissaient en déclin, du moins selon certaines fouilles paléontologiques et qu’un tel phénomène ne peut s’expliquer que sur plusieurs milliers d’années. On pointe alors du doigt un autre événement, fort actif à cette époque : les trapps du Deccan. Il s’agit d’un épisode volcanique très important et durable : on en retrouve des traces durant plusieurs millions d’années. Ces trapps (escaliers en suédois) sont en rapport avec ce que l’on appelle un point chaud, c'est-à-dire la remontée de roches brûlantes depuis le manteau terrestre. S’en suit alors un écoulement volcanique trapps-du-deccan.jpgcontinu sur une surface immense (le tiers de l’Inde actuelle !) avec des épaisseurs de plusieurs km.  La tectonique des plaques ayant fait son œuvre, l’Inde est de nos jours à 4500 km de ce point chaud résiduel qui se trouve à présent juste sous l’île de la Réunion. A l’époque de la disparition des dinosaures, il semble qu’un paroxysme éruptif se soit produit pendant peut-être 15 à 20 000 ans, un temps assez long pour avoir transformé le milieu (réchauffement climatique, émanation de gaz, pluies acides, etc.) mais quand même trop rapide pour avoir permis une adaptation efficace des grands sauriens. Dans cette optique, la météorite aurait apporté le coup de grâce à des espèces déjà fragilisées.

 

Il existe d’autres hypothèses, plus discutées, comme l’explosion proche d’une supernova, voire le passage, il y a 65 millions d’années, du système solaire à travers la ceinture de Gould (complexe d’associations d’étoiles dont l’origine reste inconnue). Les trapps et la météorite restent quand même les meilleurs candidats pour expliquer cette extinction du Crétacé mais qui sait ?

 

 

L’empire d’homo sapiens

 

Aujourd’hui, grand singe évolué de la lignée des mammifères ayant pu prospérer lorsque les niches écologiques du crétacé se sont libérées, l’Homme domine la planète. Depuis peu de temps. Si l’on compare la durée du règne de l’Homme moderne à celle des dinosaures, c’est comme mettre côte à côte un grain de sable et une montagne de plusieurs km. Pourtant, durant ce laps de temps si court, l’Homme a plus changé la Terre que quiconque auparavant. Il agit rapidement et transforme son environnement sans trop se soucier des conséquences. Compte tenu de cela, je doute fortement qu’il puisse régner ici bas aussi longtemps que les grands lézards, ses lointains prédécesseurs.

 

 

 

Sources :

les dossiers de la Recherche, n° 39, mai 2010 ;

Wikipedia France ;

CNRS (https://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosevol/)

 

 

Images

 1. sauroposeidon : un herbivore du crétacé aussi énorme que l'Argentinosaurus (sources : prehistoricanimal.blogspot.com/)

   2. la Pangée fractionnée au Trias (sources : fr.academic.ru)   

   3. combat de dinosaures (sources :  boolsite.net)

   4. Spinosaurus (sources : forum.hardware.fr)

   5. Ptéodactyles (sources : eternelpresent.ch)

  6. hadrosaure (sources : techno-science.net)

  7. les trapps du Deccan (sources : futura-sciences.com)

 

 

(Pour lire les légendes des illustrations, passer le pointeur de la souris dessus)

 

 

 

 Sujets apparentés sur le blog :

 

1. les extinctions de masse

2. la disparition des dinosaures

3. placentaires et marsupiaux, successeurs des dinosaures

4. ressusciter les dinosaures

5. la grande extinction du Permien

 

 

Mots-clés : reptiles mammaliens - Pangée - verticalisation des membres - saurischiens - ornithischiens - théropodes - sauropodes - extinctions de masse - tectoniques des plaques - isolement géographique - Argentinosaurus - ichthyosaure - ptérosaures - ornithopodes - météorite du Yuacatan - trapps du Deccan - supernova - ceinture de Gould -

(les mots en gris renvoient à des sites d'informations complémentaires)

 

 

 

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mise à jour : 6 mars 2023

Commenter cet article
A
Merci, passionnant intéressant +5 biensûr<br /> Merci beau travail .<br /> <br /> Ann
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C
Grand merci pour vos encouragements !
A
<br /> Bonjour,<br /> +5 pour tous ces dinosaures disparus...<br /> Bon mardi<br /> <br /> http://angelwords.boosterblog.com/<br /> <br /> <br />
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F
<br /> génial votre blog sur "ces petites" bêtes qui ont gouverné le monde fut un temps... On apprend tant de choses, mieux qu'un simple livre scolaire.. +5<br /> <br /> a bientot, Franck.<br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Merci grandement pour vos encouragements. A bientôt !<br /> <br /> <br /> <br />
P
<br /> Merci encore Céphéides de nous faire partager vos connaisances sur l'évolution .C'est vraiment passionnant.Vous parlez d'extinction du Crétacé et plus particulièrement dans votre article des<br /> dinosaures voir d'autres espèces . Question :extinction en masse mais pas totale ? extinction de la flore également ?<br /> Pascal<br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Bonjour Pascal et merci pour votre fidélité et vos encouragements. Pour répondre plus précisément à vos questions, il va de soi qu'une extinction massive (il y en a<br /> eu 5) ne saurait être totale sinon nous ne serions pas là pour en parler... La plus importante de ces extinctions a eu lieu durant l'ère primaire, au Permien, où plus de 90% de la faune terrestre<br /> et près de 70% de la faune marine furent définitivement détruits. Les causes de telles extinctions ne sont pas totalement identifiées et peut-être, d'ailleurs, y en a-t-il eu plusieurs à la fois.<br /> Ce qui est sûr, c'est que - géologiquement parlant - leur survenue fut rapide puisque les espèces alors vivantes n'ont pour leur grande majorité pas eu le temps de s'adapter au changement de<br /> milieu induit. Il peut s'agir d'une météorite comme pour la dernière extinction (celle du Crétacé qui fit disparaître les dinosaures) et, dans ce cas, les conséquences délétères sont immédiates<br /> ou bien un phénomène volcanique s'étendant sur quelques milliers d'années ou encore autre chose : vous trouvrez de plus amples informations dans le sujet que j'ai consacré à ces extinctions<br /> massives de l'Histoire de notre globe. Quoi qu'il en soit, dans tous les cas, le délai est trop court pour que la sélection naturelle distingue les mutations permettant aux espèces de<br /> s'adapter.<br /> <br /> <br /> Ces extinctions ne peuvent pas ne pas toucher également la flore mais les possibilités de "récupération" paraissent ici moins difficiles bien que nombre d'espèces<br /> végétales n'aient pas eu la possibilité de survivre.<br /> <br /> <br /> Nous vivons, semble-t-il, actuellement une nouvelle grande extinction, la sixième, mais elle est due uniquement à l'action des humains qui transforment trop<br /> rapidement l'environnement terrestre. C'est tout l'enjeu de notre civilisation : arrivera-t-on à "sauver" un grand nombre d'espèces menacées ou l'action humaine entraînera-t-elle une catastrophe<br /> écologique de grande ampleur : pour ma part, je ne suis guère optimiste !<br /> <br /> <br /> <br />
T
<br /> Bonjour Céphéïdes, j'ai bien aimé ton artilce sur les dinosaures et notamment sur les causes de leur disparition massive ! Au fait, non seulement je passe te faire mes amitiés mais aussi pour te<br /> signaler l'existance d'un logiciel gratuit que l'on peut télécharger à l'adresse www.stellarium.org/fr Il permet de visualiser les positions des planètes, étoiles, costellations à un lieu et une<br /> date donnée. Je l'ai déjà téléchargé et utilisé : il est très bien fait. Est-ce que tu peux relayer cette info sur ton blog ? Je pense que nombre de personnes s'intéressant à l'astronomie - comme<br /> moi - seront intéressées par cette infos ! Je te souhaite de bien débuter la nouvelle semaine et à bientôt !<br /> <br /> <br />
Répondre
C
<br /> <br /> Merci pour tes commentaies et tes encouragements. Je ne connais pas le logiciel d'astronomie dont tu parles (j'en utilise moi-même deux autres) mais c'est avec<br /> plaisir que je publie ton commentaire avec ses références (je ne manquerai pas de tester ce logiciel). A bientôt, j'espère.<br /> <br /> <br /> <br />
M
<br /> C très interessant les dinos ke sa devré nous fair reflechir<br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Dont acte !<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> Bonjour Cepheides et merci pour cet intéressant sujet. On peut comprendre en le lisant que la Vie sur Terre s'est longtemps faite sans nous : on devrait faire attention avant de tout vouloir<br /> changer !!!<br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Merci ! Je suis bien d'accord avec vous...<br /> <br /> <br /> <br />
C
<br /> C'est en effet une domination sans partages qui a duré un temps qu'il nous est difficile d'imaginer !<br /> <br /> <br />
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C
<br /> <br /> Eh oui !!!<br /> <br /> <br /> <br />
T
<br /> salut<br /> *j'ai du mal a imaginer ces êtres gigantesques vivant sur terre<br /> bon dimanche<br /> <br /> <br />
Répondre
C
<br /> <br /> Bonjour Tiot ! Je pense qu'il est en effet heureux que nous n'ayons plus de tels compagnons avec nous...<br /> <br /> <br /> <br />

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Alcyon B, roman de science-fiction (alcyon.eklablog.com)

 

Viralité, roman (djeser3.eklablog.com)

 

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La mort et autres voyages, recueil de nouvelles (djeser2.over-blog.com)

 

 

 

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